Revue de presse


Publié le 09/10/2013 |Paris Normandie

Bernay au rythme du Moyen-Age pendant trois jours

Pour les mille ans de la construction de l’'abbaye, un chantier médiéval va s'’installer à Bernay. De vendredi matin à dimanche soir, Bernay va vivre au rythme des bâtisseurs du Moyen-Age. Échafaudages, engins de construction, taille de pierre, corderie...…
Le public va pouvoir assister et participer à la reconstitution d’'un véritable chantier médiéval. Des membres de l'’association « Du Moyen-Age à nos jours » mettront en scène plusieurs ateliers différents. Un échafaudage sera, par exemple, monté durant les trois jours. Il permettra, notamment, de mettre en avant des détails peu connus sur la façade de l’'abbaye : comme des trous, traces des échafaudages de l’'époque. La cage à écureuil, engin grandiose sera également installée et mise en marche. Des tailleurs de pierre seront à l'oe’œuvre, tout comme des cordières.

animations médiévales à Bernay


Publié le 08/10/2013 |Le courrier de l'Eure

Jean-Paul Adam

Géométrie et nombre d’or au Moyen-Age

Pascal Waringo anime une conférence jeudi 10 octobre à 20h30 au cinéma Le Viking au Neubourg. Ce bâtisseur d'aujourd'hui y parlera des bâtisseurs d'hier. L'entrée est libre.

Jeudi 10 octobre à 20 h 30, la ville du Neubourg organise une conférence au cinéma Le Viking : « les bâtisseurs d’aujourd’hui parlent des bâtisseurs d’hier ». Géométrie et nombre d’or au Moyen âge, ce sera le thème développé par le conférencier Pascal Waringo. Ce spécialiste de la restauration du patrimoine expliquera les techniques et moyens de construction utilisés au Moyen Age pour bâtir les monuments. « Compagnon du Tour de France des Devoirs Unis », Pascal Waringo est soucieux de transmettre ses connaissances et son savoir.

Conférence vivante et instructive

La municipalité tient à ce que cette conférence soit accessible à tous : l’entrée est gratuite et le conférencier adapte ses propos pour être compris par le plus grand nombre. Lors de ses conférences, Pascal Waringo s’appuie sur des photographies de reconstitutions historiques de chantiers. Il utilise aussi des illustrations originales, ainsi que ses propres plans et croquis, tout en s’appuyant sur des auteurs de référence.
Pascal Waringo livre ses découvertes et les partage avec son auditoire. Il amène sa perception, et, arrivé au débat, propose un réel échange avec le public en n’hésitant pas à utiliser outils et maquettes pour la bonne compréhension des idées et des propos développés…

Géométrie et nombre d’or

De tous temps, les mathématiques ont été au service de l’art. Des pyramides d’Egypte aux temples grecs, de l’époque de la Renaissance à nos jours, l’utilisation du nombre d’or a permis de réaliser de grands chefs d’œuvres car il leur confère une esthétique des plus belles. Egalement utilisé au Moyen Age, le nombre d’or et d’autres théories ont permis de construire des édifices avec des divines proportions.
Pascal Waringo est présent dans notre région à l’occasion des 1 000 ans de l’Abbatiale de Bernay. Les 3 jours suivant la conférence, il sera à Bernay où il mettra en pratique les théories expliquées dans sa conférence, puisqu’il participera à la reconstitution d’un chantier médiéval. Avec son équipe, il travaillera comme sur un véritable chantier médiéval œuvrant sur des engins, des échafaudages et des établis.

Pascal Waringo

Une soirée pour comprendre comment se bâtissaient les cathédrales.


Publié le 04/07/2013 |Ouest France

Myriam ADAM

Les bâtisseurs d'hier aux Médiévales de Bayeux

Pour la 27e édition, les bâtisseurs de cathédrales et autres places fortessont mis à l'honneur.

Des milliers de personnes sont attendues ce week-end dans les rues de Bayeux pour la 27e édition des Médiévales. Le moment de découvrir la culture et les traditions d'antan. Cette année, les bâtisseurs sont mis à l'honneur et pour l'occasion une association de passionnés et de professionnels du milieu fait le déplacement.
Ils seront une vingtaine à faire découvrir comment nos ancêtres ont pu bâtir des villes comme Bayeux avec du matériel et des techniques, parfois oubliés. Pascal Waringo, maitre-d'oeuvre et président de l'association « Du Moyen Âge à nos jours » sera présent avec son équipe pour faire plonger le public en arrière, direction le XIIIe siècle.

La cage à écureuil

« Nous proposerons plusieurs activités sur les lieux des manifestations. Il y a des ateliers de fresques et de décorations prévus dans la cathédrale pour les enfants, le public pourra entrer dans la cage à écureuil qui était l'engin de construction le plus puissant du Moyen Âge et bien d'autres choses encore. »
Outre les ateliers proposés, ce sera l'occasion de découvrir les savoir-faire. « Samedi, nous monterons tout un échafaudage en bois sur le porche de l'hôtel du Doyen. Le public pourra voir les techniques de l'époque », explique-t-il. Parmi les métiers à découvrir, se trouvent ceux du cordiste, du maître-verrier, de cordière ou encore de tailleur de pierre. « Nous serons une vingtaine de personnes à faire des démonstrations de ces métiers dans différents coins de la ville. La plupart d'entre nous sommes professionnels et venons d'un peu partout en France. Un de nos tailleurs de pierre est d'ailleurs de Bayeux. »
Pour assurer une manifestation de la sorte, il faut déployer les moyens nécessaires. « Nous venons d'Albi avec un semi-remorque plus d'autres véhicules pour nous permettre d'accéder plus facilement dans la ville. Sans oublier celui des costumes, c'est une grosse intendance. »
Pour les plus curieux, des engins de constructions d'époque sont à admirer au premier étage de l'hôtel du Doyen, c'est une exposition doublée avec celle de Jean-Louis Bastel, maître d'oeuvre breton.

Samedi 6 juillet, de 10 h à 23 h; dimanche 7 juillet, de 10 h à 19 h, Médiévales de Bayeux. Pour cette 27e édition, les bâtisseurs de cathédrales et autres places fortes, thème majeur cette année, seront mis à l'honneur. Parade en costume le dimanche, à partir de 11 h. Près d'un millier de participants attendus dans la parade, aux côtés des compagnies professionnelles.

animations médiévales à Bayeux

Pascal Waringo, maitre d'oeuvre, sera présent avec son association "Du moyen-age à nos jours"


Publié le 03/06/2011 |L'Hebdo du vendredi

Aymeric Henniaux

Pendant ce temps, la roue tourne

Ce sera l'une des attractions les plus populaires des fêtes Jeanne d'Arc. De son nom officiel treuil à tambour, mais plus communément appelée roue, ou cage à écureuil, cette machine en bois permettait aux bâtisseurs de lever des charges toujours plus lourdes avec le seul poids du corps de l'oeuvrier. Ce dernier devait marcher en continu à l'intérieur d'un tambour de quatre à cinq mètres de diamètre. De par ce système, une seule personne de 80 kg pouvait lever environ 500 kg. De même, étant démontables, les cages à écureuil pouvaient tout aussi bien être assemblées dans les charpentes pour réaliser les travaux de voûtement des cathédrales (en cas de besoin, les poulies étaient attachées aux échafaudages). Construit par le maçon Pascal Waringo, cet appareil de levage, installé sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame, pourra soulever des charges à cinq mètres de haut. « Si j'ai construit cet engin, c'est que je me suis rendu compte lorsque j'étais ouvrier sur des chantiers de restauration, que beaucoup de visiteurs s'interrogeaient sur les capacités des ouvriers du Moyen-Âge à soulever de lourdes charges. Et c'est ce questionnement extérieur qui, petit à petit, a éveillé ma propre curiosité et m'a incité à reproduire un treuil à tambour de ce type » confie Pascal Waringo.

Si cette invention moyenâgeuse paraissait très élaborée et pratique à cette époque, il est bon de rappeler que plusieurs centaines d'années avant, les constructeurs romains avaient déjà conçu des treuils à tambour, dont le diamètre dépassait les dix mètres.

A l'intérieur, une dizaine de personnes pouvait prendre place pour actionner la roue, et lever ainsi des charges de plus de treize tonnes. C'est justement ce procédé qui aurait été utilisé lors de la construction de l'aqueduc du pont du Gard.

Installé depuis plusieurs jours déjà, un drôle d'engin attire la curiosité des passants. Il s'agit en réalité d'une maquette reproduisant fidèlement un appareil de levage médiéval.

Pascal Waringo

Le poids de l'individu faisant tourner la roue sert d'énergie. Une personne de 80 kg peut ainsi lever 500 kg.


Publié le 14/05/2011 |L'Union presse Lélia BALAIRE

Jusqu'en octobre sur le parvis de la cathédrale de Reims Après Kumo, la cage à écureuil

Elle ressemble à une roue géante de hamster en bois et a remplacé Kumo l'araignée, sur le parvis à côté de la cathédrale. Elle porte également le nom contemporain de « cage à écureuil ». Le treuil à tambour - c'est là son nom authentique - a été monté et assemblé par des passionnés hier matin. Une grue d'antan levant jusqu'à une tonne de matériaux, « à condition que deux hommes costauds l'actionnent. Une personne seule montera entre 300 et 400 kg de poids », détaille Pascal Waringo, président de l'association tarnaise « Du Moyen-Âge à nos jours », constructrice de l'engin.

Ainsi, les hommes bâtissaient-ils les cathédrales autrefois. Ils entraient dans la roue géante et marchaient en son antre pour la faire tourner et hisser la pierre ou le bois à plusieurs mètres de hauteur, grâce à une poulie.
Dix ans de recherches.

Pascal Waringo

La cage à écureuil mesure 3,15 mètres de diamètres

Ainsi, les enfants des écoles rémoises et de l'agglomération actionneront-ils, à leur tour, la cage à écureuil cet été. Et leurs petits camarades des contrées alentours à la rentrée (lire par ailleurs).

Les badauds pourront, quant à eux, faire connaissance avec elle dès aujourd'hui, s'ils se rendent sur le parvis. Peut-être croiseront-ils même Pascal Waringo. L'homme se fera, alors, un plaisir de leur compter l'histoire de sa cage.

Car si le treuil à tambour s'expose aujourd'hui c'est bien parce qu'il lui a donné corps et vie. « J'ai commencé par faire des recherches documentaires et de conception pendant près de dix ans. Puis visité des cathédrales, comme celle de Strasbourg, abritant encore des cages à écureuil. Nous nous en sommes ensuite inspirés pour construire les nôtres ».

Une démarche entreprise voilà vingt ans. L'association en possède cinq ou six, à présent. Dont ils se sont même servis à plusieurs reprises. Comme lors de leur première reconstitution au château d'Arques (dans l'Aude). « Pour soulever des blocs de pierre. C'était en 1992. » Ou à Guédelon (dans l'Yonne) en 1999. « Nous avons participé au lancement du chantier médiéval. »

Qui sait, peut-être qu'avec l'arrivée de la grue à Reims, les flèches de dame cathédrale verront-elles enfin le jour ?


Publié le 05/05/2009 |LaDepeche.fr E.-J.C.

Salles. Pascal Waringo restaurateur du patrimoine

Au fil des années, Pascal Waringo s'est taillé une solide réputation dans sa profession.

Rien ne destinait ce franco-suisse, né à Alger en 1958, à devenir un spécialiste de la restauration du patrimoine.

Il a beaucoup voyagé au gré des déplacements de sa famille avant de venir dans le Tarn en 1972. À 16 ans, retenu pour un stage de charpentier au CFA d'Albi où par malchance il est le seul candidat, on le dirige, contre son gré, vers la maçonnerie. Son beau-père, installé à Salles, le prend en main : « un maçon très doué qui s'est occupé de moi pendant 2 ans, m'a appris le métier et m'a transmis le virus ». En 1980, il part en Cote d'Ivoire diriger un chantier. Avec une centaine d'ouvriers africains sous sa responsabilité, il bâtira des maisons pendant 18 mois. De retour à Salles, au bout de 2 ans il s'installe à Mailhoc. Il se spécialise dans la restauration de bâtiments et se bat pour obtenir les qualifications professionnelles (pierre de taille et maçonnerie du patrimoine ancien, couverture en tuile canal, en lauze et ardoise, monuments historiques). Le titre de Maître artisan lui est décerné en 1992 ; depuis 1996, il gère la société SNRB (Sauvegarde, nettoyage et restauration de bâtiments*) qui compte 8 ouvriers et dont il est le responsable technique. À son actif de nombreuses réalisations récompensées par des distinctions ou prix (1).

Pascal vit pleinement son métier. Cet autodidacte a acquis un savoir-faire qu'il s'efforce de partager et de transmettre à des jeunes en s'appuyant sur des valeurs et sur les traditions. Passionné par l'histoire du Moyen Âge, il s'est livré à des travaux de recherche pour construire des machines de guerre et de levage médiévales grandeur nature d'abord et par la suite en modèles réduits ; il a publié des articles dans plusieurs revues sur le treuil à tambour, les échafaudages dans le chantier médiéval, la corde à 13 nœuds, le puits de la halle de Cordes-sur-Ciel, l'Eglise de Cordes… déposé en 1991, un brevet d'invention (fabrication, levage de toiture).

* La Bessarié 81130 Mailhoc (tél : 05 63 56 85 70)

Pascal Waringo

Pascal Waringo à Cordes. En arrière plan, le beffroi de l'église St-Michel qu'il a réparé. Photo DDM, E.-J.C. Pascal Waringo à Cordes. En arrière plan, le beffroi de l'église St-Michel qu'il a réparé. Photo DDM, E.-J.C


Publié le 04/06/2009 | E.-J.C. LaDepeche.fr

Salles. Festival de la pierre: un engin révolutionnaire

La cage à écureil à Salles

Non, le treuil à tambour ne va pas souleverle crucifix pour le déplacer mais il a suscité beaucoup d'intérêt de la part du nombreux public. Photo DDM, E.-J.C. Non, le treuil à tambour ne va pas souleverle crucifix pour le déplacer mais il a suscité beaucoup d'intérêt de la part du nombreux public. Photo DDM, E.-J.C.

Lors du festival de la pierre de Salles, une curiosité a particulièrement attiré l'attention des visiteurs: un appareil de levage le plus puissant du Moyen Age, le treuil à tambour (ou cage d'écureuil) muni d'une chèvre de 6,5 m. Son utilisation remonte à l'Antiquité. Les Romains qui précédèrent les bâtisseurs de l'époque romane, en gravèrent un sur le frontispice du théâtre de Capoue.

Un ouvrier, à l'intérieur de la cage, provoque sa rotation et on peut ainsi soulever une charge importante. L'engin était démonté au sol pour être à nouveau assemblé aux étages supérieurs ou dans la charpente où il restait sous les combles comme à la cathédrale de Strasbourg ou à la collégiale de Thann.

Cet engin a été reconstitué en 1994 par l'association « Du moyen Age à nos jours» avec Pascal Waringo restaurateur de patrimoine, Eugène Sébal menuisier à Salles et un groupe d'insertion. L'association créée par Pascal Waringo*, Jean-Louis Rigal tailleur de pierre et Alain Laffon menuisier a pour vocation de faire connaître et promouvoir les métiers du bâtiment et de mettre en valeur les anciennes techniques de construction, de réaliser des engins civils du Moyen Age; elle organise des conférences, des visites, des expositions, des spectacles et des actions touristiques ou de sensibilisation (www.batisseurs-medievaux.fr; tél: 05 63 56 85 70).

*Passionné par l'histoire du Moyen Age; il s'est livré à des travaux de recherche pour construire des machines de guerre et de levage médiévales grandeur nature d'abord et en modèles réduits par la suite; il a publié des articles sur le treuil à tambour, les échafaudages dans le chantier médiéval, la corde à 13 nœuds, le puits de la halle de Cordes-sur-Ciel, l'Eglise de Cordes...déposé en 1991, un brevet d'invention(fabrication, levage de toiture).


Publié le 11/06/2009 |LaDepeche.fr

Vayrac. Conférence : la construction des églises au Moyen-âge

L'association Saint-Martin organise, ce samedi 13 juin, à 20 heures, à la salle des fêtes de Vayrac, une conférence sur le thème : « Les chantiers de construction des cathédrales et des églises au Moyen-âge ».

La conférence de Pascal Waringo sera illustrée par des projections de diapositives et par des maquettes de machines utilisées sur les chantiers à l'époque.

C'est un sujet qui intéressera tous ceux qui, attachés à notre patrimoine, veulent mieux connaître cette partie de notre histoire souvent considérée comme barbare et obscure. Ils pourront la découvrir à partir des techniques et des hommes qui ont su construire des monuments qui, 1 000 ans plus tard, font toujours partie de notre paysage quotidien.

Pascal Waringo est particulièrement qualifié pour traiter ce sujet car il possède la culture du médiéviste et la compétence professionnelle de celui qui bâtit et construit : il est artisan maçon qualifié en maçonnerie générale, en restauration pierre de taille, en couverture en lauzes, en restauration des maçonneries des monuments historiques. Il est aussi président de l'Union compagnonnique des Devoirs unis de Montauban. Pascal Waringo est l'auteur d'articles dans la « Revue d'Histoire médiévale », dans la « Revue du Moyen-âge » et dans la revue « Le compagnonnage », dans laquelle il a traité des techniques, des machines et des instruments de mesure utilisés au Moyen-âge sur les chantiers de construction. Les maquettes seront aussi exposées de 15 heures à 18 heures. L'entrée à l'exposition et à la conférence est gratuite (libre participation pour aider l'association, soutenir ses projets de restauration de l'église Saint-Martin et ses activités d'animation culturelle).

maquette treuil à tambour

Une des maquettes présentée à Vayrac le 13 juin.


Publié le 21/06/2009 |LaDepeche.fr

Vayrac. Une conférence instructive sur le bâtiment au Moyen Age

Beau succès de la conférence organisée samedi 13 juin par l'association Saint Martin de Vayrac sur le thème « les chantiers médiévaux de construction des églises et des cathédrales » donnée par Pascal Waringo. Plus de 100 personnes étaient présentes.

L'exposition de maquettes d'engins tels que les cages d'écureuil, les roues à échelons, les treuils à bras, avait déjà donné aux visiteurs une idée des techniques de construction et de levage de l'époque médiévale.

Le très intéressant exposé de Pascal Waringo porta précisément sur la vie des chantiers aux 13ème et 14ème siècles. Plusieurs idées reçues furent battues en brèche : la durée des chantiers était relativement courte du fait de la présence d'une main d'œuvre très nombreuse et de l'utilisation d'engins de levage, les « bâtisseurs » n'étaient pas serviables et corvéables à merci mais, embauchés à la semaine, rémunérés à la tâche, ils bénéficiaient d'un jour de repos hebdomadaire, le dimanche.

Les femmes, partie intégrante des effectifs, étaient affectées à des tâches moins pénibles : approvisionnement en nourriture, préparation des mortiers, tressage des cordes.

Toutefois, sur certains chantiers elles étaient moins rémunérées que les hommes. Les questions posées en fin de conférence attestent bien que la sauvegarde du patrimoine est encore de nos jours l'œuvre de tous.

Pascal Waringo

Pascal Waringo explique le fonctionnement des engins de manutention du Moyen-Age. Pascal Waringo explique le fonctionnement des engins de manutention du Moyen-Age.


Publié le 04/08/2009 04:35 |LaDepeche.fr

Cordes-sur-Ciel. Ce soir, conférence du bâtisseur Pascal Waringo

démonstration de travaux médiévaux

Pascal Waringo que l'on aperçoit au sommet de l'échafaudage en démonstration de travaux médiévaux. Photo DDM.

Comment les fortifications de Cordes ont elles été construites en 7 ans ? C'est ce qu'expliquera Pascal Waringo, célèbre bâtisseur, lors de la conférence qu'il donnera ce soir à 20h30 à la salle Fontpeyrouse de la Mairie de Cordes.

Cette conférence fait partie du cycle initié par la Société des Amis du Vieux Cordes présidée par Alain Manuel, descendant de Charles Portal.


Auteur : ChM. | 24/05/2010 |guerande-infos

En écho à la Fête Médiévale, cette semaine Entrée libre pour toutes les manifestations prévues durant la semaine : expositions, conférence et un site internet.

Mardi 25 mai à 20 h à Athanor, Pascal Waringo maître ouvrier dans l’association « du Moyen-Âge à nos jours » présente une conférence sur le thème des bâtisseurs qui se prolongera par une exposition jusqu’au 28 mai(10h-12h et 14h30-17h30). Et du 25 mai au 5 juin, à la Médiathèque Samuel Beckett, l’exposition «À la découverte du Moyen-Âge » retrace 1000 ans d’histoire racontés par Maître Guillaume à son petit-fils, petit Pierre.( à partir de 7ans)

Les membres du Club Photos de Guérande couvrent la Fête Médiévale les 29 et 30 mai. Leurs photos seront exposées le week-end du 5, 6 et 7 juin à la Chapelle St Michel. Mais, nouveauté cette année : les photos de ce week-end pourront être vues sur le net dès le soir même, un site internet entièrement dédié à cet évènement a été élaboré. Ils vont relever le défi de mettre plus de 1000 clichés en ligne le soir même des Médiévales. Nous pouvons déjà y retrouver les photos de l’édition 2009, consulter et commander directement des photos.

Son adresse :http://photo.fetemedievale.free.fr/
10 août 2010 | Gaillac Info

Montans : les bâtisseurs des temps anciens à l’Archéosite de Montans du 31 juillet au 22 août 2010

Du 31 juillet au 22 août 2010, l’équipe de l’Archéosite de Montans vous propose de venir découvrir une nouvelle exposition temporaire intitulée « Les bâtisseurs des temps anciens : Permanence des outils, actualité d’un génie ».

Pour l’occasion, M. Pascal Waringo nous confie ses maquettes d’engins de construction et une partie de sa collection d’outils anciens.

Mais c’est aussi l’occasion de rappeler le grand talent, l’ingéniosité et la précision de ses bâtisseurs, en contact direct avec la matière, et dont nous redécouvrons aujourd’hui bien des leçons.

Cette exposition prendra chaque jour plus de corps avec le ciselage d’un chapiteau antique qui prendra peu à peu forme sous la main experte d’un tailleur de pierre.

Les bâtissseurs des temps anciens

3/31/2010 dans la presse américaine : USATODAY.com

Medieval castle expected to boost Arkansas tourism